Me voici de retour pour vous parler de ma lecture du troisième tome des aventures d’Eflie, fille de sorcière, et de ses deux grandes sœurs dans leur bus londonien librairie. Encore un pur moment de bonheur simple…
Voici la quatrième de couverture :
Alors que Noël approche, le bus-librairie d’Elfie et de ses soeurs est immobilisé par une panne, en Alsace. Là, Elfie partage pour la première fois son secret : Faustine, fille de la pâtissière du village, est aussi une petite sorcière ! Mais Faustine est surtout une miss catastrophe qui se fourre dans des situations impossibles et compte sur Elfie pour l’aider à s’en sortir…
Entre une tempête de neige et des attaques de bonshommes en pain d’épices, Elfie va découvrir une énigme familiale datant de la seconde guerre mondiale, qui pourrait bien changer la vie du village.
Un conte de Noël gourmand et mouvementé, qui vient apaiser les secrets du passé.
Comme vous pouvez le constater, j’ai choisi la meilleure période pour me jeter dans cet opus du Grimoire d’Elfie, qui se passe en pleine période de Noël. La recette fonctionne toujours parfaitement.
C’est un travail plein de pep’s, de couleurs et de bonne humeur que nous offrent Arleston, Alwett et Mini Ludvin. Chaque tome est aussi chaleureux que semble l’être le bus des filles. On ne s’ennuie pas une seule seconde et subtilement, on en découvre un peu plus sur les personnages.
Cette fois, il n’y a pas réellement d’enquête à résoudre. Elfie va rencontrer de nouvelles sorcières, dont une qui n’est pas beaucoup plus douée qu’elle dans la maîtrise de la magie. C’est original, c’est amusant et la résolution du mystère est plutôt drôle.
On voit aussi Louette prendre de l’ampleur. Elle n’est plus seulement la grande sœur majeure et responsable, sympa et loyale. Elle redevient ici la jeune fille de dix-huit ans qui peut s’emballer pour un coup de cœur.
On découvre encore un peu le passé de cette famille pas comme les autres et j’ai trouvé très intelligent et assez touchant le fait qu’on voie revenir la tante. Celle qui paraissait horrible au début voit son portrait nuancé : Elfie évoque des souvenirs heureux et la fin rend Tata Delphine bien plus sympathique.
Bref, c’est encore un joli moment de lecture, à savourer avec un chocolat chaud plein de guimauves, mais sans pain d’épices en l’occurrence… Peu digeste ici 😉
Priscilla
Livresque78 