On ne présente plus Olivier Norek, ancien policier devenu l’un des auteurs de romans policiers les plus lus. il a cette capacité à se renouveller et à nous surprendre à chaque nouveau roman.
L’auteur m’avait subjuguée avec son roman Entre deux mondes, puissant et criant de réalisme. Cette fois il me donne une belle claque derrière la tête et me fait, encore davantage prendre conscience de notre avenir sur cette planète. Je n’avais pas lu que de bonnes critiques sur ce roman, probablement son style si différent de ce que propose l’auteur habituellement. Il était temps que je me fasse ma propre opinion, c’est un roman documenté, travaillé, on y sent l’inquiétude d’olivier Norek pour l’avenir de notre planète mais aussi sa colère face à des puissants qui portent bien leur nom et semblent intouchables.
ifficile surtout d’accepter cette sensation d’être constamment pris pour des imbéciles, à coups de mensonges, nos dirigeants nous obligent à avaler des inepties et à poursuivre cette, de plus en plus rapide descente vers une fin annoncée. L’auteur tire la sonnette d’alarme en y mêlant enquête et éveil d’un peuple, il crée le personnage de Solal qui va devenir un porte drapeau vengeance la planète et calmant sa douleur personnelle par des actes punitifs.
C’est un roman surprenant et alarmant qui bien que différent des précédentes, interroge et dérange. Il s’immisce dans les conversations familiales car les chiffres et données qui y sont rapportés par Olivier Norek sont édifiantes. Chacune devrait en prendre connaissance et demander ainsi des comptes à ceux qui tentent de nous faire croire que nous sommes nous, simples citoyens, responsables que cette catastrophe écologique.
Mag
Livresque78 
Je viens de le finir… à lire absolument et à se mobiliser de toute urgence. Très bon week-end
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Si cela ne tenait qu’à nous…
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J’avais aimé sans plus Code 93, j’aimerais bien lire un autre livre de l’auteur.
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Je te conseillerai peut-être alors Entre deux mondes. Tu vas être scotchée.
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Personnellement, je n’ai pas aimé ce roman car je travaille dans le domaine et je sais que tirer à boulet rouge sur l’industrie est un peu facile. Même si les infos sont creusées, justes et la cause très noble (c’est mon job, c’est dire si j’y crois !), même si je trouve l’engagement de Norek sincère et utile, il y a un manque d’objectivité car tous les industriels ne sont pas des monstres et on oublie un peu trop vite que les industriels sont là pour satisfaire nos besoins de consommateurs, donc que les actions sont d’abord et avant tout dans nos mains à nous. Mais ce roman a au moins le mérite de réveiller les consciences, et ça c’est bien.
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Je comprends mais je pense qu’il n’est plus à prouver les dégâts que font des industries comme total ou Elf sur le climat et sur la pollution des nappes phréatiques.
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