Cette première lecture de Jojo Moyes n’est pas la magnifique découverte à laquelle je m’attendais. Je ne dis pas que ce roman n’est pas bon, mais il ne m’a pas captivé autant que je l’espérais en lisant la quatrième de couverture que voici:
Pur produit des années soixante, Athene Forster n’est pas pressée de se marier. Cette jolie fille trop gâtée est devenue une jeune femme aussi capricieuse qu’imprévisible, et elle multiplie les écarts de conduite.
Aussi ses parents accueillent-ils avec soulagement la nouvelle de son mariage avec Douglas Fairley-Hulme, héritier de bonne famille. Mais à peine deux ans plus tard, la rumeur court qu’elle a une liaison, et le scandale la rattrape.
Trente-cinq ans plus tard, Suzanna Peacock s’efforce de vivre une vie aussi paisible que celle de sa mère a été tumultueuse. Elle s’installe à la campagne avec son mari, Neill, qui espère fonder une famille avec elle, et ouvre un café où elle vend des objets vintage.
Les rencontres inattendues qu’elle va faire dans cette petite ville vont apporter bien des réponses aux questions qui la hantent…
J’ai beaucoup aimé le début qui se déroule en 1963, cet amour contrarié dont j’attendais beaucoup, mais ce saut dans le temps pour atterrir en 2001 où l’on découvre Suzanna, personnage exécrable a gâché mon plaisir et le charme s’est rompu, malheureusement. J’aurais tant aimé que cette histoire de jeunes gens et d’amour à sens unique se poursuive et s’approfondisse. Cette sensation de louper l’essentiel n’a pas cessé de me perturber dans ma lecture et je peinais à rester concentrer sur l’histoire et à m’attacher aux personnages. J’ai donc avancé au fil des pages sans grande passion, me laissant distraire par tout ce qui m’entourait.
Je n’ai lu que du bien sur l’auteure, je ne lâche donc rien et vais tenter de découvrir d’autres de ses romans en espérant trouver la magie que je n’ai pas ressenti ici.
Ce n’est donc pas une déception car la lecture reste fluide et agréable mais le charme n’a pas opéré et c’est clairement ce que j’attends de ce type de lecture, surtout en ce moment.
Bon week-end à tous et toutes.
Mag