La vallée des oranges de Béatrice Courtot

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Une terrasse, un peu de soleil, une boisson fraîche et pourquoi pas, quelques douceurs et vous êtes dans de bonnes conditions pour débuter votre lecture.

Une ambiance ensoleillée, sucrée où l’amour trouve également sa place. De Majorque à Marseille, de 1935 à 2016, Béatrice Courtot nous emmène en voyage par l’esprit, elle chatouille notre nez de senteurs pâtissières, sur fond de recherche de ses origines et de guerre civile, elle nous présente deux femmes fortes et courageuses, Magdalena est tout simplement admirable. 

Nous découvrons donc Anaïs et son arrière grand-mère Magdalena, toutes deux amoureuses de la pâtisserie, une découverte de ses racines pour Anaïs et par conséquent un retour dans le passé…Un engagement dans la résistance pour Magdalena. Un alternance entre les époques vécues par les deux femmes, que près de 80 ans séparent donnent un rythme à l’histoire, qui s’en enrichie. 

Un roman dont la lecture incite à se laisser porter, au gré de l’air Méditerranéen, du parfum des oranges, et des secrets de famille. 

Ce premier roman est une véritable réussite, le but est atteint sans aucun doute, le voyage des lecteurs débute.

Résumé:

Marseille, 2016
En démontant le faux plafond d’un hôtel, un ouvrier tombe sur une boîte contenant les souvenirs d’une vieille dame, Magdalena. Son arrière-petite-fille, Anaïs, tenancière du Café de l’Ensaïmada, une institution culinaire à Paris, décide alors de partir à la recherche de ses origines majorquines…
Majorque, 1935
Magdalena, jeune pâtissière, confectionne chaque jour des ensaïmadas, ces brioches majorquines entortillées et saupoudrées de sucre glace. Mais très vite, la guerre civile espagnole frappe aux portes de son village. Au péril de sa vie, Magdalena s’engage alors dans la résistance.
Entre Majorque et Marseille, deux destins de femmes bousculées par la Guerre d’Espagne et un secret de famille, mais unies par une même passion : la pâtisserie.
« UN LIVRE BIEN DOCUMENTÉ, BIEN ÉCRIT, AVEC UNE HÉROÏNE FORTE. (…) MAJORQUE EST ENCHANTERESSE. »
Ariane Bois, romancière

 

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